Hermione ne semble pas sérieuse au premier abord, elle est complètement délurée. Toujours prête à rire et à s’amuser avec les personnes qui l’entoure, elle ne se prive pas d’organiser des soirées où le sake et peu à près le sexe devienne les principaux invités. Ayant toujours été rebelle depuis sa plus tendre enfance elle ne supporte pas de recevoir des ordres, que se soit par ses nourrisses que par ses parents. Détestant, profondément les zéphyrs, elle déteste leur manière hautaine et leur attitude méprisante envers les autres. C’est l’une des raisons pour lesquels elle reniera son passé. .Pourtant, n’imaginer pas qu’elle est tendre, ses yeux améthyste transpercent l’âme et la sévérité dans ceux-ci est intense.

Physiquement, on voit bien que Hermione est une zéphyr. Sa démarche est suave et douce, pleine de grâce. Elle ne veut pas à semer la peur autour d’elle contrairement à certains de ses compatriotes. Son regard, lui, il est améthyste. D’une brillance incontestée ainsi qu’une ambition disproportionnée. Ses yeux ils sont profonds, mystérieux et indéchiffrables. Une véritable ressource de fatalité lorsqu’on se perd dedans. Ils sont si profonds que vous aurez toujours cette fine impression qu’elle lit dans votre tête, qu’elle déchiffre quelque chose en vous ou même comprendre ce que vous voulez dire, sans prononcer le moindre petit mot. Ils inspirent une malice incomparable lorsque ses yeux croisent le regard de ses futures victimes. La chevelure, un élément essentiel pour une femme dit-on. Qu’ils soient longs, courts ou bien mi-longs, ils sont ce qui caractérise le plus la gent féminine. Pour elle, ils sont d’une longueur centaine. Ils sont de couleur améthyste également tout comme ces yeux, D’une longueur certaine, lui donnant ainsi l’air d’une lionne, ceux-ci sont tout le temps lâchés. Pourtant une multitude de tenues qui peuvent évoluées au fil des situations, mais elle aime bien s’habiller de manière provocante montrant bien sa nature rebelle aux mœurs conservatrices des zéphyrs. Son corps quant à lui est sur entrainé, possédante une très bonne agilité et une maitrise de bon nombre d’arts martiaux ce qui est tout à fait normal au vu de son passé de tueuse. Très grande manieuse de dague, elle en porte un très grand nombre sur elle, les maniant avec une très grande dextérité et vitesse.

La naissance est le début du commencement. Le début d’une longue marche de joie, de haine, de tristesses, d’amour… En fait, nous nous dirigeons tous vers la même direction, sans le savoir, vers la paix éternelle, un talion certain et qui semblerait bien être infaillible à mes yeux. Une clairvoyance des plus sinistres et déplorable. Personne ne voulait de ça, mais pourtant le contraire était adéquatement dans le droit chemin. L’humain est vil, l’homme ne pouvait changer. Il naissait avec cette nature inévitable, celle de vouloir prendre le dessus sur les autres, de vouloir être respecté, de posséder le pouvoir. Une puissance pour tous nous soumettre, pour tous nous faire souffrir. La vie c’est comme une échelle, après tout. Il est possible de monter et de descendre aussi rapidement que nous sommes montés. Grimper jusqu’au sommet n’est jamais quelque chose de facile, surtout lorsque nous avons le vertige. Une peur, une frayeur, une phobie, une psychose d’allée plus loin. Il faut vaincre nos craintes afin d’aller plus haut, ceci est le but de la vie.

L’immortalité n’existe pas, je peux vous le confirmer. Il s’agit seulement que des conneries inventées par des écervelés qui pensent l’être. Tout comme selon la légende qui disait que nos ancêtres zéphyrs l’étaient, absurde se fut le premier mot qui me venait à la bouche le jour où je lus cela dans un des livres anciens que comptaient la bibliothèque de mon père. Mais passons sur cette histoire et racontons mon histoire. Tout comme les autres zéphyrs, je naquis dans la richesse et dans l’aristocratie. Elevé par de nombreuses nourrices, mon éducation fut dure et très exigeante, dès l’enfance on me faisait apprendre les subtilités de l’histoire de notre peuple et également celui du monde. Malheureusement pour eux, je ne fus guère une petite fille modèle, mais plutôt une rebelle, je détestais toutes ses choses de haute bourgeoisie. Au détour d’une ruelle d’Aphelion, j’avais rencontré un vieil homme qui tenait un dojo où il enseignait les arts martiaux et différentes techniques d’infiltration et de déplacement furtif. Au lieu d’apprendre des choses telles que le piano ou la danse classique, je m’entrainais sans relâche auprès de mon maitre. Rapidement, je me détournais des autres zéphyrs, ne supportant plus leur façon d’être supérieur par rapport aux autres. Au fil des années, mes parents qui furent traditionnellement absents apprirent mon comportement et me posa l’ultimatum. Je devais arrêter l’entrainement au dojo, vous vous imaginez bien que mon refus fut catégorique et bien évidemment je fus convié à partir du manoir familial. Mon seinsei m’accueillit un certain temps avant de me donner mes premières missions d’assassinats, ses premières missions relativement faciles me permirent d’emménager à mes frais dans un somptueux appartement des quartiers populaires d’Aphelion. Petit à petit, je me fis une réputation, à présent mes clients étaient de puissants politiciens voulant supprimer leur adversaire politique ou bien même les maitres de la contrebande voulant éliminer leur concurrent leur plus farouche. Tout le monde pouvait faire appelle à mes services évidemment mes services n’étaient pas à la portée de toutes les bourses. Mais, un jour j’eus pour mission d’éliminer un juge. Je savais que cette mission était extrêmement périlleuse, mais mon client m’avait promis une grosse enveloppe et donc c’était une occasion à ne pas rater, mais malheureusement cela ne se passa pas comme cela. Le juge était beaucoup plus puissant que je le pensais et il me battit avec une grande facilitée, mais au lieu d'aller en prison pour attaque contre un juge je décidais d'aller dans la garde cerberus. Au début, cela n’était guère facile, car mes camarades étaient pour la plupart des violeurs des voleurs ou même des tueurs comme moi et donc cela n’était guère facile pour une femme comme moi. Actuellement, j’étais plus respecté dans la garde cerberus, on me redoutait quelque peu.